Frédo, petit Mozart, adorait peindre
Il peignait, en gosse âgé de trois ans
Des huiles qu'on regardait stupéfait
Après il avait exposé un peu partout
Du métro jusqu'aux hôtels de riches
A Londres ou Paris dans les galeries
Et son père l'accompagnait toujours
Pour tous deux la Roue avait tourné
On avait jugé impossible sa peinture
Il avait fallu constater sa vraie valeur :
Un jour il eut de la barbe et vingt ans
Un jour il eut de la barbe et vingt ans
Il avait fallu constater sa vraie valeur :
On avait jugé impossible sa peinture
Pour tous deux la Roue avait tourné
Et son père l'accompagnait toujours
A Londres ou Paris dans les galeries
Du métro jusqu'aux hôtels de riches
Après il avait exposé un peu partout
Des huiles qu'on regardait stupéfait
Il peignait, en gosse âgé de trois ans
Frédo, petit Mozart, adorait peindre
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