vendredi 16 février 2007

L'enfant précoce


Frédo, petit Mozart, adorait peindre

Il peignait, en gosse âgé de trois ans

Des huiles qu'on regardait stupéfait

Après il avait exposé un peu partout

Du métro jusqu'aux hôtels de riches

A Londres ou Paris dans les galeries

Et son père l'accompagnait toujours

Pour tous deux la Roue avait tourné

On avait jugé impossible sa peinture

Il avait fallu constater sa vraie valeur :

Un jour il eut de la barbe et vingt ans

Un jour il eut de la barbe et vingt ans

Il avait fallu constater sa vraie valeur :

On avait jugé impossible sa peinture

Pour tous deux la Roue avait tourné

Et son père l'accompagnait toujours

A Londres ou Paris dans les galeries

Du métro jusqu'aux hôtels de riches

Après il avait exposé un peu partout

Des huiles qu'on regardait stupéfait

Il peignait, en gosse âgé de trois ans

Frédo, petit Mozart, adorait peindre

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