jeudi 8 mars 2007

Charlène


Je n’irai plus aux Nuits des Anciens du Lycée

J’ai revu dans ce tas Charlène Vivaudou

La blonde (toujours belle) que j’aimais au bahut

Notre jeunesse a fui... Où est-elle passée

Pour faire de l’effet, elle en faisait, Charlène

Des tonnes! Les gens se retournaient à son passage

Elle emplissait l’espace, cette fille pesait

Sur toute la soirée, et je l’ai donc revue

Sur toute la soirée, et je l’ai donc revue

Elle emplissait l’espace, cette fille pesait

Des tonnes! Les gens se retournaient à son passage

Pour faire de l’effet, elle en faisait, Charlène

Notre jeunesse a fui… Où est-elle passée

La blonde (toujours belle) que j’aimais au bahut

J’ai revu dans ce tas Charlène Vivaudou

Je n’irai plus aux Nuits des Anciens du Lycée

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ah, mais tout s'explique...
Impossible d'avoir une vie privée avec internet ! Il mérite bien son nom de Toile.

Et donc je découvre vos poèmes très originaux (ça tombe bien, j'aime tout ce qui est "construit") et le roman.

A très bientôt pour de nouvelles aventures,
JPB.

Hélène Larrivé a dit…

Et bien moi, je ressens les mêmes choses malgré le temps qui coule... J'ai l'impression qu'en un sens il s'est figé dans la mémoire et demeure inatct, même devant le gâchis du temps qui s'avance à grand pas. Sans doute la cérébralité intempestive...