Je n’irai plus aux Nuits des Anciens du Lycée
J’ai revu dans ce tas Charlène Vivaudou
La blonde (toujours belle) que j’aimais au bahut
Notre jeunesse a fui... Où est-elle passée
Pour faire de l’effet, elle en faisait, Charlène
Des tonnes! Les gens se retournaient à son passage
Elle emplissait l’espace, cette fille pesait
Sur toute la soirée, et je l’ai donc revue
Sur toute la soirée, et je l’ai donc revue
Elle emplissait l’espace, cette fille pesait
Des tonnes! Les gens se retournaient à son passage
Pour faire de l’effet, elle en faisait, Charlène
Notre jeunesse a fui… Où est-elle passée
La blonde (toujours belle) que j’aimais au bahut
J’ai revu dans ce tas Charlène Vivaudou
Je n’irai plus aux Nuits des Anciens du Lycée
2 commentaires:
Ah, mais tout s'explique...
Impossible d'avoir une vie privée avec internet ! Il mérite bien son nom de Toile.
Et donc je découvre vos poèmes très originaux (ça tombe bien, j'aime tout ce qui est "construit") et le roman.
A très bientôt pour de nouvelles aventures,
JPB.
Et bien moi, je ressens les mêmes choses malgré le temps qui coule... J'ai l'impression qu'en un sens il s'est figé dans la mémoire et demeure inatct, même devant le gâchis du temps qui s'avance à grand pas. Sans doute la cérébralité intempestive...
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