lundi 12 février 2007

Coste


Tu te disais que la vie était trop courte
Tu marchais dans les rues comme ivre
Du bonheur d'exister La tête bien vide
Sous le ciel bleu tu ne savais plus rien
Avec toi l'amour dansant menait le bal
De cette malédiction que tu trimbalais
L'H.I.V. susurrait qu'il te fallait mourir
L'H.I.V. susurrait qu'il te fallait mourir
De cette malédiction que tu trimbalais
Avec toi l'amour dansant menait le bal
Sous le ciel bleu tu ne savais plus rien
Du bonheur d'exister La tête bien vide
Tu marchais dans les rues comme ivre
Tu te disais que la vie était trop
courte

4 commentaires:

Hélène Larrivé a dit…

Beau... mais inquiétant... Auto biographique ? Pour coup, j'espère que non, ou très transposé. H

Hélène Larrivé a dit…

Silence et disrétion. Of course.

Hélène Larrivé a dit…

On dirait Robespierre.

qui il link del blog dellâ associazione a dit…

Grreat blog I enjoyed reading