samedi 20 janvier 2007

Arthur


Il aboutit à Marseille, port des adieux
On y embarque aussi pour les enfers
Car en Mer Rouge le ciel est brûlant
Il gagna Aden qui n'est pas le paradis
Terrestre et arrivant au port d'Obock
Ses porteurs le menèrent par la route
Jusqu'au Harrar où était sa factorerie
On dit qu'Arthur avait été transporté
Par la lecture du Coran, la Récitation
(Car il n'y a pas de Dieu, il y a Allah)
Il y avait gagné une sainte réputation
Qu'il négociait aux Afars musulmans
Ainsi payait-il son ivoire bon marché
Un cancer de l'os lui cloua le genou
Il lui fut alors impossible de marcher
Il lui fut alors impossible de marcher
Un cancer de l'os lui cloua le genou
Ainsi payait-il son ivoire bon marché
Qu'il négociait aux Afars musulmans
Il y avait gagné une sainte réputation
(Car il n'y a pas de Dieu, il y a Allah)
Par la lecture du Coran, la Récitation
On dit qu'Arthur avait été transporté
Jusqu'au Harrar où était sa factorerie
Ses porteurs le menèrent par la route
Terrestre et arrivant au port d'Obock
Il gagna Aden qui n'est pas le paradis
Car en Mer Rouge le ciel est brûlant
On y embarque aussi pour les enfers
Il aboutit à Marseille,
port des adieux

2 commentaires:

Hélène Larrivé a dit…

Mort aux vaches.

Hélène Larrivé a dit…

Y a que moi qui cause ici, sur les 288 personnes qui lisent ? Pas très bavards, les fans. Manque une grande gueule de service pour mettre du sel dans les épinards.